"Quand je suis dans le noir, le soir…" : Isabelle Morini-Bosc tétanisée après avoir été victime de quatre agressions

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Depuis la rentrée, Isabelle Morini-Bosc est de retour dans "Touche pas à mon poste". L'an dernier, la chroniqueuse avait en effet dû disparaître des écrans à cause d'une situation personnelle compliquée.C'est donc avec joie que Cyril Hanouna et les téléspectateurs ont accueilli celle qui officie dans le programme depuis son lancement. Ce mardi 5 novembre 2024, en direct dans l'émission, Isabelle Morini-Bosc a une nouvelle fois évoqué les agressions dont elle a été victime au cours de sa vie.

Une première agression dès l'âge de 12-13 ans

Au cœur d'une vive polémique il y a quelques jours, Isabelle Morini-Bosc fait à nouveau parler d'elle. Ce mardi 5 novembre 2024, la chroniqueuse a pris la parole pour évoquer les agressions dont elle a été victime. "Après quatre agressions, tu crois que c'est pourquoi que je continue à faire de l'exercice ? Je me dis que je peux être amenée à devoir courir, à devoir me battre" a-t-elle déclaré. Et de continuer : "J'avais douze ans quand quelqu'un m'a dit 'Quand tu as quelqu'un dans le dos, mets tes mains comme ça'. S'il te donne un coup de couteau, tu as de l'os". Toujours traumatisée des années plus tard, elle raconte : "Dès l'âge de 12/13 ans, j'ai eu ma première agression et bah ça m'est toujours resté. Quand je suis dans le noir, le soir, je mets instinctivement ma main comme ça et il y a une fois où ça m'a servi".

Isabelle Morini-Bosc se confie sur son viol

En 2022, Isabelle Morini-Bosc s'était confiée sur son viol survenu en 2016 alors qu’elle faisait son footing à Neuilly : "C’était il y a six ans. J’étais ceinturée en arrière pendant que je marchais. Il m’a amenée dans un bosquet. Un monsieur qui était marathonien… j’ai eu beaucoup de chance." avait-elle raconté à Jordan De Luxe.La chroniqueuse avait ensuite expliqué que son agression a duré deux longues heures et qu’elle a trouvé la force de parler avec son agresseur : "J’ai parlementé tout le temps, j’ai eu énormément de sang-froid. Manifestement, ce n’était pas un salaud à temps complet, on a beaucoup discuté. Ça a duré deux heures… Et puis, j’ai fini mon footing."En apprenait ensuite qu'elle n’a pas été porter plainte après avoir été violée"Je n’ai pas porté plainte parce que j’étais salie [… Porter plainte pour grossir les statistiques, ce n’est pas… Et puis, j’ai un défaut, j’ai une sur-empathie. En quelque sorte, je lui ai pardonné." Et de conclure : "Je n’avais qu’une envie : c’était de rentrer chez moi et de prendre une douche et de retrouver mon mari qui rentrait de Haute-Savoie."

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