
Zoé est morte en juillet. Rien n’avait préparé ceux qui l’entouraient à la voir disparaître. L’accompagner dans sa dérive relevait autant du dévouement que de l’ensorcellement : on s’y laissait emporter, sans jamais en revenir tout à fait. Une question reste suspendue : que laisse-t-on derrière soi, quant tout s’arrête ?