Ramzy Bedia : sa sœur Melha violemment taclée sur les réseaux sociaux de "Quotidien", elle leur répond

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Après une première saison sortie en 2022, la série Miskina, la pauvre revient pour six épisodes le 27 septembre prochain sur Prime Vidéo. L'occasion de retrouver Fara qui, après la mort de sa grand-mère, se met en quête des fantômes du passé. Pour en parler, Melha Bedia (qui tient le rôle principal, ndlr), Hakim Jemili & Victor Belmondo étaient les invités de "Quotidien" sur TMC ce 25 septembre. Face à Yann Barthès, ils ont fait le show et, notamment, évoqué leur retour attendu sur la plateforme. Sur le réseau social de l'émission, une séquence a été mise en avant. Celle où le journaliste demande aux trio leurs mots préférés de la langue arabe. Pour commencer, Hakim Jemili a dévoilé que le plus beau mot était "Al hamdoulilah". De son côté, la sœur de Ramzy en a, elle, cité un autre. Pour elle, le plus beau mot arabe est "Mashallah", qui s'utiliserait pour désigner "quelque chose de beau" pour Victor Belmondo alors que cela voudrait dire "à la gloire de Dieu" pour Melha Bedia. Une séquence qui, évidemment, a suscité de nombreux commentaires et l'actrice de 33 ans en a pris pour son grade.

Melha Bedia critiquée : la soeur de Ramzy ne se laisse pas faire

La publication postée par "Quotidien" rassemble, à l'heure où nous écrivons, plus de 120 commentaires. Beaucoup critiquent l'humour de Melha Bedia et l'un d'eux écrit même "Elle est juste pas drôle. Limite je préfère Ramzy". Un commentaire auquel elle n'a pas hésité à répondre avec humour : "Même moi je préfère Ramzy" a-t-elle lancé. Une petite phrase qui lui a valu plusieurs émojis éclatant de rire et d'internautes saluant sa répartie.Si la relation s'est apaisée entre Melha et Ramzy, cela n'a pas toujours été simple entre le grand frère et sa petite sœur. En effet, le comédien ne souhaitait pas, initialement, que sa cadette marche dans ses pas. Dans une interview au Parisien en 2023, celui-ci a confié que c'était pour la "protéger". L'ancien acolyte d'Eric Judor explique : "Elle excellait à l’école. Elle a eu le bac à 1 an (en réalité, à 16 ans, ndlr). Moi qui n’ai pas réussi, je voyais ma sœur à HEC. Parce qu’elle était très forte" raconte-t-il. "Elle aurait été nulle, j’aurais dit : 'Va jouer au foot' ou : 'Monte sur scène et dis des blagues.' Mais là, je trouvais ça bête. Être humoriste, non". Une chose est sûre, Melha Bedia a bien fait de ne pas écouter son grand frère qui, lui, doit aujourd'hui être très fier de sa petite sœur.

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