Cinq mois après l’annulation du premier tour de la présidentielle, la Roumanie a confirmé dimanche son virage nationaliste. Le leader de l’extrême droite, George Simion, arrive largement en tête du scrutin. Mais un second tour très serré s’annonce le 18 mai face à des candidats pro-européens, dans un climat de méfiance et de tensions autour de possibles ingérences étrangères.