Les chirurgiens refusaient de lui greffer les deux poumons tant qu’il ne trouvait pas de logement social. En attendant, Karim Aouadi a dû vivre dans un camping à La Roche-sur-Yon (Vendée). Une course contre la montre pour survivre qui a duré huit mois. Il entrevoit aujourd’hui le bout du tunnel et peut de nouveau prétendre à recevoir une greffe.