L'affaire squatte les gros titres depuis plusieurs jours. Et elle pourrait bien nuire à la carrière de Slimane, qui connait un véritable boom depuis un an. Mais le chanteur ne semble pas encore prêt à affronter le scandale...En témoigne deux décisions récentes qui ont de quoi surprendre. En effet, le 29 octobre 2024, on a appris qu'un ancien technicien sur sa tournée "Cupidon tour", avait porté plainte contre lui.
Il a maintenu sa venue à Cannes, et fermé les commentaires sur Instagram
Une nouvelle qui est arrivée quelques jours avant une date très importante pour Slimane. Le 1er novembre suivant, le chanteur de "Mon amour" était attendu à Cannes, pour chanter aux NRJ Music Awards, et y recevoir un prix.
Couronné artiste masculin de l'année, l'artiste a fondu en larmes sur scène. Il n'a toutefois pas répondu, ni même fait mention aux accusations graves qui pèsent contre lui.
Selon la plainte déposée à Saint-Etienne par cet ancien employé, les faits supposés se seraient produits en décembre 2023. Après une date de concert, Slimane l'aurait "bloqué contre un mur" pour lui "imposer une étreinte". Et lui aurait avoué qu'il avait envie d'une relation sexuelle avec lui.
Après lui avoir indiqué qu'il était marié et hétérosexuel, le plaignant affirme avoir reçu par téléphone une "multitude de messages et de vidéos à caractère sexuel" de la part de Slimane. Et ce, pendant "deux heures et demi".
Le soir des NRJ Music Awards, Slimane aurait "refusé de regarder le scandale en face", estiment nos confrères de Voici.
Et en plus, il a pris la décision, dès le lendemain de sa prestation, de désactiver tous les commentaires sur ses publications Instagram.
Slimane fait l'objet d'une enquête
Pour l'hebdomadaire, cela constituerait "une preuve qu'il craint la réaction du public et veut fuir le scandale à tout prix". En privé, comme le rapporte Gilles Verdez sur le plateau de Touche pas à mon poste, ce 6 novembre 2024, le chanteur serait très affecté par ces accusations. Et on imagine bien que l'ouverture d'une enquête par le parquet pour "harcèlement sexuel aggravé par l'utilisation d'un support numérique ou électronique" n'a pas dû arranger cela.