Une piste de traitement du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) a été révélée par une équipe de recherche lilloise. Une réelle avancée pour les personnes atteintes de ce syndrome, qui constitue l’une des principales causes d’infertilité féminine. C’est un espoir naissant pour les 13% de femmes atteintes du SOPK dans le monde. Le syndrome des ovaires polykystiques est une affection hormonale courante, qui touche les femmes en âge de procréer. Il se déclare généralement pendant l’adolescence, mais les symptômes peuvent évoluer au fur et à mesure. Parmi eux, on compte un déséquilibrage hormonal, des règles irrégulières, des taux excessifs d’androgènes, mais surtout l’apparition de kyste dans les ovaires qui peuvent mener à une infertilité totale. Jusqu’alors classé comme un syndrome chronique et incurable, cela pourrait bien changer. Dans un rapport, publié dans la revue Cell Metabolism, le Centre de recherche Lille Neurosciences et Cognition démontre dans une expérience, réalisée sur ...