Depuis 2022, France 2 propose Les rencontres du Papotin. De Julien Doré à Gilles Lellouche en passant par Jonathan Cohen ou Camille Cottin, de nombreuses célébrités ont participé à ce magazine d'interviews atypiques. Samedi 9 novembre 2024, ce sera au tour de Clara Luciani de se prêter à l'exercice. Et à en croire l'extrait mis en ligne sur le compte X (anciennement Twitter) du Journal Papotin, la chanteuse de 32 ans va se confier comme jamais auparavant devant les caméras.
Sa solitude, sa passion pour Harry Potter et son physique seront autant de sujets abordés dans la prochaine émission.
Au cours de son entretien avec les Papotins, l'interprète de La grenade aura aussi l'occasion de revenir sur un élément douloureux de son passé : le harcèlement scolaire.
"Qu'à tu ressentis quand tu as été harcelé à l'école ?" osera lui demander un intervenant. Ce à quoi la jolie blonde devrait répondre : "J'ai ressenti de l'injustice. C'était devenu le truc un peu à l'école de venir me voir et me dire : 't'es moche'". De bouleversantes confidences.
https://twitter.com/JournalPapotin/status/1853851580736364666Clara Luciani à cœur ouvert sur son enfance difficile
Ce n'est pas la première fois que Clara Luciani évoque ainsi ces jeunes années. Dans une interview accordée à nos confrères du Parisien le 3 février 2023, elle était déjà revenue sur son enfance marquée par les brimades de ses camarades de classe.
"Ça a commencé à l'âge de 6 ans", avait-elle expliqué avant d'ajouter : "Les autres enfants se moquaient de ma taille. J'étais déjà très grande. On le voit sur ma photo de classe de CP, je fais la même taille que la prof. À 11 ans, je mesurais 1,76m. Et puis j'étais la première de la classe, et une fille un peu bizarre qui aimait se réfugier dans les livres. Et, quand on a des différences, ça ne loupe pas, malheureusement. J'ai été raillée : 'La grande asperge', 'Quel temps il fait là-haut', 'T'es moche'". "Des petits malins s'amusaient à mettre des punaises ou des cartouches d'encre ouvertes sur ma chaise", avait-elle précisé. "Ça a pris de telles proportions que j'allais à l'école la boule au ventre avec l'envie de disparaître. J'étais très seule. Je me sentais rejetée, nulle, moche, et incapable de rentrer dans le moule. Ça a duré le temps du collège". Des souvenirs particulièrement douloureux.