Sa vie a basculé en 2018 après la pose de trois bandelettes censées traiter l’incontinence et la descente d’organes. Comme Karine Prou, de nombreuses femmes disent subir des complications liées aux implants vaginaux. Fin juin 2025, la Sarthoise a été reçue au ministère de la Santé pour faire entendre les revendications de son association Diva.