Le Roumain Mihai Eminescu est peu connu dans nos contrés. Son œuvre la plus célèbre est un long poème, Hypérion, et comme Holderlin, l’effondrement psychologique et physiologique est au bout. Une poignée de textes publiés dans quelques revues littéraires et un unique recueil publié de son vivant, mais surtout une grosse malle de manuscrits. C’est dans ce vaste « fragmentarium » que des maximes, visions et autres méditations ont été extraites, pour proposer un volume (bilingue), publié chez Arfuyen.