Au cours d'un sommet virtuel d'une trentaine de dirigeants alliés de l'Ukraine, le Premier ministre britannique Keir Starmer a estimé que la balle était "dans le camp de la Russie" qui devra "tôt ou tard venir à la table" des négociations. Le président russe est celui qui "essaie de retarder" les choses, a-t-il ajouté.