François Bayrou a fixé un délai de quatre à six semaines pour qu'Alger se montre plus coopératif avec la France et qu'elle reprenne ses ressortissants expulsés. Sans quoi, il promet de suspendre les accords de 1968 qui octroient des facilités aux Algériens souhaitant s'installer à Paris. Malgré les tensions, les deux pays sont censés négocier dans les prochaines semaines.