Une ancienne Miss, mère de deux enfants, étranglée mortellement, découpée à la scie et mixée en "purée" par son mari

il y a 2 semaines 1

C'est une scène d'une extrême violence qui a eu lieu, le 13 février dernier, à Binningen, en Suisse, au domicile de Kristina Joksimovic. L'ancienne finaliste de Miss Suisse en 2007 a été sauvagement tuée et mutilée par son mari. Celui-ci a avoué le meurtre de sa compagne, mère de deux enfants. Si l'affaire refait surface aujourd'hui c'est parce que le suspect a fait une demande de libération pénitentiaire. Une demande qui lui a été catégoriquement refusée par le tribunal fédéral de Lausanne.A l'occasion de cette audience, les membres de la Cour en ont profité pour dévoilés les déclarations du principal suspect, revenir sur l'horreur de cette journée et la manière dont les faits se sont déroulés. Des faits encore inconnus du grand public. Ainsi, on a pu apprendre que la victime de 38 ans a, dans un premier temps, été étranglée. Puis, le corps de l'ancienne reine de beauté a été découpée à la scie et au sécateur. Malheureusement, l'effroyable ne s'arrête pas là... Le suspect présumé a, enfin, réduit les restes de son corps en purée à l'aide d'un mixeur et en a dissous d'autres à l'aide de produits chimiques.

Miss Switzerland finalist strangled to death, then ‘pureed’ in a blender by her husband https://t.co/akkmzl5Bsv pic.twitter.com/kgcD7R3E9m

— New York Post (@nypost) September 11, 2024

Miss Suisse tuée dans d'abominables circonstances : que dit le suspect pour sa défense ?

Le suspect et Kristina Joksimovic, originaire de Serbie, étaient en couple depuis plus de quinze ans. Ensemble, ils avaient eu deux adorables enfants n'hésitant pas à dévoiler leur bonheur sur les réseaux sociaux. Si l’homme de 41 ans a avoué les faits, il s'est toutefois défendu en évoquant la légitime défense. Selon lui, c'est à la suite "d’une dispute conjugale" que ce dernier aurait décidé d'agir. Nul ne sait, à ce stade, si les enfants du couple étaient présents au domicile familial au moment des faits.Déjà connu de la justice pour des violences conjugales envers l'une de ses anciennes partenaires, le tribunal de Lausanne a déclaré que le suspect a fait preuve de "sang-froid" en assassinant sa conjointe, mais aussi "d’une énergie criminelle remarquablement élevée" et "d’un manque d’empathie".

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