"Paris est une fête" écrivait l’auteur américain Ernest Hemingway. Et depuis samedi 31 mai, c’est aussi une étoile. Celle décrochée en finale de la Ligue des champions par le Paris Saint-Germain pour la première fois, la deuxième seulement pour un club tricolore. Une victoire française donc… Mais jusqu’à quel point s’agit-il, peut-être et surtout, d’une victoire du Qatar, l’émirat du golfe propriétaire du PSG à travers son fonds Qatar Sports Investments ?