Les droits de succession en France peuvent être réduits ou éliminés grâce à diverses exonérations et abattements, selon la nature des biens hérités ou la situation particulière du défunt. Toutefois, des frais de notaire restent à régler, même en cas d'exonération fiscale. Les droits de succession en France concernent aussi bien les biens mobiliers qu'immobiliers et peuvent être soumis à des exonérations totales ou partielles, selon la nature des biens ou la situation particulière du défunt. Comme le rappelle Planet.fr, la législation française prévoit des règles spécifiques en fonction des biens hérités, mais aussi des conditions particulières, permettant parfois d'éviter la taxation sur certaines transmissions. Exonérations totales des droits de succession Certaines transmissions de biens échappent complètement aux droits de succession. C’est le cas pour la pension de réversion, qui profite au conjoint survivant, ainsi que pour les rentes viagères versées aux ascendants ou descendants directs du défunt. De même ...