Alain Delon : nouveau rebondissement et pas des moindres concernant l’héritage

il y a 1 jour 4

Le monde du cinéma pleure encore la disparition d'Alain Delon, survenue le 18 août 2024. Près d'un an après la mort de la légende du septième art, son nom continue de résonner avec force.Le 22 mai dernier, un ouvrage consacré aux "derniers jours du Samouraï" est d'ailleurs paru aux éditions Robert Laffont.

Alain Delon : un test ADN bientôt réalisé ?

Même si les tensions au sein de la fratrie Delon étaient déjà visibles avant la sortie du livre de François Vignolle et Laurence Piau, celui-ci soulève un nouveau sujet sensible : la possible revendication d'une part d'héritage par les enfants d'Ari Boulogne.

Mort en 2023, ce dernier s'est toujours considéré comme le fils non reconnu d'Alain Delon. Si aucune preuve officielle n'a jamais confirmé ce lien, ses enfants, eux, entendent aujourd'hui se battre pour obtenir ce qu'ils estiment leur revenir.

Et pour faire valoir leurs droits, ils seraient prêts à demander un test génétique, rapporte Closer. Une décision qui pourrait tout bouleverser...

Laurence Piau : "Ça peut changer quelque chose"

"Alors oui, ça peut changer quelque chose si un lien de filiation est établi. Ari Boulogne avait introduit une demande de recherche en paternité qui n'a pas abouti pour des raisons de droit", a récemment confié Laurence Piau sur les ondes de France Inter.

Elle estime cependant qu'un souci pourrait compliquer l'audience du 11 juin à Poitiers. L'origine allemande de la mère d'Ari Boulogne et la nationalité suisse de l'un de ses enfants pourraient soulever des questions juridiques.

"Et là, ça diffère complètement. Donc, le 11 juin, on va savoir quel droit s'applique. Les enfants d'Ari Boulogne sont bien déterminés, semble-t-il, à poursuivre le combat de leur père. Ils ont deux stratégies différentes, parce que ce sont deux avocats différents", a-t-elle précisé. Et de conclure : "En fonction de quel droit s'applique, ce qui est sûr, c'est que de toute façon (...) on ne peut plus exhumer un corps, sauf autorisation express, que potentiellement, ils ne sauront jamais refuser. Tout dépend, s'il y a un test génétique et si les enfants acceptent, ça peut être la solution". Affaire à suivre donc...

Lire l'article entier