Depuis le 23 avril dernier, Jean Imbert fait face à une véritable tempête médiatique. Accusé dans les colonnes du magazine Elle par quatre ex-compagnes de les avoir violentées psychologiquement et/ou physiquement, le gagnant de Top Chef est désormais en difficultés. Comme le révèlent nos confrères du Parisien ce dimanche 4 mai 2025, les premières réactions se sont fait entendre.Juré historique de Top Chef, présent des saisons 1 à 5 dans le programme, Christian Constant a bien connu Jean Imbert. Dans les colonnes du Parisien, le chef montalbanais a donné son avis sur l'affaire, et son point de vue sur la personnalité de Jean Imbert. Pour Christian Constant, impossible de percevoir en Jean Imbert un homme aux deux visages. Le chef se souvient d'un "bon gars", "doué", qui certes "avait du caractère (et) ne se laissait pas faire" mais en voulait et y est arrivé. Ghislaine Arabian, également jurée des saisons 1 à 5, a elle aussi pris la voix. La cheffe de 76 ans s'est montrée dure à l'égard du gagnant, et se rappelle d'un candidat torturé et égocentrique. "D’habitude, on peut relier pratiquement tous les candidats à quelque chose de drôle, d’un peu sympa. Lui, non. C’était quelqu’un de très préoccupé par lui-même" se souvient avec amertume la cheffe parisienne.
Le festival de Cannes congédie Jean Imbert
Chef du palace Martinez, Jean Imbert a la primeur de cuisiner pour les stars présentes au festival de Cannes. Mais cette année, le comité exécutif du festival en a décidé autrement, au regard des éléments parus dans la presse. Comme l'explique Le Parisien, le chef de 43 ans vient d'être congédié, et ne préparera aucun repas aux convives. Pire encore, le lieu pourrait être modifié, puisque le restaurant du palace Martinez appartient à Jean Imbert. Mais sur ce point, la décision n'a pas encore été tranchée.Pour rappel, Jean Imbert fait face aux accusations de quatre ex-compagnes. Toutes pointent du doigt des emportements, des dénigrements permanents, des insultes, et des crises de jalousie à répétition. Par la voix de ses équipes de communication, Jean Imbert ne conteste pas les faits qui lui sont allégués, mais évoque des "relations dysfonctionnelles" avec des torts partagés.