Figure emblématique de la télé-réalité française, Maeva Ghennam en a visiblement assez de la notoriété. Depuis peu, l'influenceuse aux 3,1 millions d'abonnés sur Instagram se fait discrète. En juin dernier, elle a en effet révélé souffrir d'un "burn-out" particulièrement sévère. "J’ai eu des idées noires. Des pensées que je ne pensais jamais connaître un jour", a-t-elle expliqué. Quelques semaines seulement après cette prise de parole, Maeva Ghennam s'est de nouveau emparée de ses réseaux sociaux afin de donner de ses nouvelles.
Maeva Ghennam : "Je perds beaucoup d’argent"
"Je vais bien. Mieux même. Je prends le temps de me relever, de respirer, de vivre", a-t-elle confié avant de revenir sur les "derniers mois" difficiles qu'elle a vécu et à cause desquels elle a ressenti "le besoin de (s)'éloigner, de poser (son) téléphone, de vivre sans montrer chaque seconde, de goûter à la vie sans filtre, sans cadre, sans pression".
"Pendant 8 ans, je n’ai jamais pris autant de distance avec vous, jamais. Et pourtant c’est ce qu’il me fallait", a ajouté Maeva Ghennam qui n'a d'ailleurs pas hésité à réduire son train de vie pour son bien-être : "C’est vrai, je perds beaucoup d’argent. Parce qu’au-delà du plaisir, c’est aussi mon travail. Mais aujourd’hui, je choisis de perdre de l’argent pour ne plus me perdre moi-même. Ma paix intérieure n’a pas de prix".
L'influenceuse prête à tout plaquer
Après des années dans l'influence, la Marseillaise a visiblement un nouvel objectif en tête : redécouvrir "des moments simples". "Je ne vous cache pas qu’aujourd’hui, je ne sais pas si je reviendrai comme avant. Peut-être que oui peut-être que non. Peut-être différemment. Ou peut-être jamais", a-t-elle précisé. "C’est fou comme ça change tout (…) Je me sens plus libre, plus légère. Et surtout, je me sens enfin heureuse".Et de conclure : "Je vous laisse ces mots comme un au revoir… ou peut-être un à bientôt. Je ne ferme aucune porte, mais je laisse le vent décider. Je vous aimerai toute ma vie". Une publication qui a sans doute laissé ses admirateurs sous le choc.