Si sa carrière a démarré en 2011, il aura fallu attendre 2024 pour qu'Alice Belaïdi se fasse un nom. En acceptant d'interpréter le premier rôle féminin de la comédie d'Artus Un p'tit truc en plus, la comédienne ne s'attendait probablement pas à un tel carton. Le film, également porté par Clovis Cornillac et Mayane, a réalisé plus de 10,5 millions d'entrées au box-office, avec un budget très modéré de 6,1 millions d'euros. Un carton exceptionnel, qui a ouvert les portes du succès à Artus et Alice Belaïdi.Car si Clovis Cornillac était déjà bien connu avant le film, Alice Belaïdi, elle, avait un nom bien plus confidentiel. Habituée aux seconds rôles, on a pu la voir ces dernières années dans de nombreuses comédies comme Si j'étais un homme d'Audrey Dana, La plus belle pour aller danser de Victoria Bedos, ou encore Les Kaïra de Franck Gastambide. Mais depuis le succès fou d'Un p'tit truc en plus, Alice Belaïdi a davantage de propositions sérieuses… mais le revers de la médaille est aussi à encaisser !
Alice Belaïdi s'empêche d'aller à de gros évènements
En effet, dans une interview accordée à Télé-Loisirs ce lundi 28 juillet, l'actrice révèle mal supporter la surmédiatisation qui découle de ce film. Si elle reconnaît qu'il s'agit-là d'un "cadeau de fou" qui lui ouvre de belles portes, Alice Belaïdi ne peut s'empêcher de percevoir ce cadeau comme empoisonné... "Quand une personne sur sept a vu le film au cinéma en France, la vie change forcément. Je suis beaucoup plus identifiée. Avant on pouvait me prendre pour quelqu’un d’autre. Maintenant, on sait que je suis la fille d’Un p’tit truc en plus. C’est génial, d’avoir cette reconnaissance avec un film comme celui-ci !" a-t-elle ainsi déclaré.Honnête, Alice Belaïdi a poursuivi en révélant fuir les gens qui la reconnaissent et grâce auxquels elle a acquis cette notoriété bondissante : "Je ne suis pas allée à la fête de la musique par exemple. Franchement, on se parle de gros problèmes de riches. En général, au départ les gens n’osent pas trop te parler. Mais avec deux verres dans le nez, ils se lâchent. Quelqu’un qui te reconnaît voit ça comme un moment. Ils vont par exemple se souvenir de toi à la fête de la musique. Dans la soirée, j’en aurais peut-être croisé cinquante. Même si j’ai envie d’être sympa, disponible, quand il y a beaucoup de monde, je me sens un peu dépassée, et je n’ai pas forcément envie de montrer ma tête". C'est dit !