L’année 2025 ne démarre pas de la meilleure des façons pour Poupette Kenza. En effet, selon les informations de Paris-Normandie, le tribunal de commerce de Rouen vient de placer l'un de ses commerces en liquidation judiciaire.Selon nos confrères, il s’agit de son salon de bronzage O’Sun Time, qu’elle a ouvert avec son compagnon Allan en 2022, sur la place Joffre Mutualité. L’ouverture de ce commerce avait d’ailleurs été vivement relayée par les abonnés de l’influenceuse à l’époque.
Plusieurs infractions pour Poupette Kenza et son commerce
Néanmoins, le tribunal de commerce de Rouen a décidé de faire baisser le rideau d’O’Sun Time le 28 janvier 2025. La faute à des infractions à la législation du travail et des difficultés financières pour le salon de bronzage du couple. Mais que reproche donc, concrètement, la justice à Poupette Kenza et Allan ? Selon nos confrères, les inspecteurs de la DDETS (Direction départementale de l'emploi, du travail et des solidarités) avaient relevé des infractions graves au droit du travail. Ils notent notamment la présence d'une hôtesse d'accueil non déclarée, ainsi que l’absence de déclarations sociales pour sept employés du salon entre juin 2022 et octobre 2023. De plus, le commerce de l’influenceuse aux millions d’abonnés se trouvait concerné par une importante dette fiscale et sociale, pour une somme de 99 283 euros.
O'Sun Time déjà fermé temporairement à deux reprises
Ajoutez à cela des loyers impayés pour un montant 8 773 euros, une condamnation par le conseil des prud'hommes de Rouen le 1er juillet 2024, et une obligation de versement de 19 379 euros à une ancienne employée. Des dettes qui ont conduit à une liquidation judiciaire pour le commerce de Poupette Kenza et Allan. Le tribunal de commerce a souligné que les difficultés de l'entreprise étaient liées à "l’inexpérience de son dirigeant".La justice estime par ailleurs que l’influenceuse se trouve incapable de faire face aux obligations sociales, fiscales et réglementaires de O’Sun Time. Nos confrères de Paris-Normandie rappellent par ailleurs que le salon de bronzage avait dû fermer temporairement sur décision administrative à deux reprises.