C'est le choc au Royaume-Uni. Alors que ce lundi 26 mai, des supporters célébraient la victoire du club de foot Liverpool FC en Premier League, une voiture a foncé dans la foule. Et le bilan est terrible : 50 personnes ont été blessées, dont quatre enfants. Quatre personnes sont toujours hospitalisées dans un état grave, dont un enfant. Les secours les ont sortis en soulevant la voiture sous laquelle ils étaient encore coincées à leur arrivée.Dans ce contexte terrible, le prince William et Kate Middleton ont pris la parole, sur Instagram.
William et Kate s'expriment
Eux qui étaient tout récemment, le 22 mai 2025, en déplacement à Glasgow, en Écosse, ont écrit un touchant message.
"Nous sommes profondément attristés par les scènes survenues hier à Liverpool. Ce qui aurait dû être une joyeuse célébration s'est terminé tragiquement" déplorait leur communiqué.
Et d'ajouter : "Nos pensées vont aux blessés, aux premiers intervenants et aux services d'urgence sur place".
Il faut dire qu'à Liverpool, le souvenir du drame survenu en 1989 est encore dans tous les esprits. Cette année-là, alors lors qu'ils assistaient à un match dans le stade de Hillsborough à Sheffield, 97 supporters du club étaient morts dans une bousculade.
La catastrophe a également blessé plus de 760 personnes. Ce fut la journée la plus meurtrière de l'histoire du sport britannique.
Nouveau drame à Liverpool
Pourtant, ce 26 mai 2025, personne ne s'attendait à un tel désastre. Plus tôt dans l'après-midi du lundi, des centaines de milliers de personnes, dont beaucoup de familles, s'étaient rassemblés dans la rue. Malgré une pluie battante, ils s'étaient tous habillés de rouge pour célébrer le titre de champion de leur équipe. Et autour de 18h, une voiture bleue a fait un carnage. Le véhicule qui a percuté du monde, a mis du temps à s'arrêter. Et finalement, la police a indiqué avoir interpellé son conducteur. Il s'agirait d'un "homme blanc britannique de 53 ans de la région de Liverpool", comme le rapporte BFMTV. Et d'ajouter que les autorités britanniques parlent d'un acte "isolé" qui n'est "pas traité comme du terrorisme".