Michel Drucker admiratif de Vincent Lagaf' : ce syndrome dont il est victime

il y a 4 semaines 2

Ce dimanche 2 mars 2025, Vincent Lagaf’, l’un des animateurs les plus emblématiques de la télévision française, était l’invité de Vivement dimanche sur France 3.Un passage à la télévision qui a permis à l’humoriste et animateur de revenir sur les moments marquants de sa carrière, mais aussi de partager une part plus intime de lui-même.Celui qui est de retour aux commandes du "Bigdil", a évoqué ses débuts dans le milieu et son ressenti face à son succès, notamment le fameux syndrome de l’imposteur qu’il a ressenti au fil des années.

Vincent Lagaf sur le fauteuil de Michel Drucker

Comme tous les dimanches, Michel Drucker était, ce 2 mars 2025, aux commandes de son émission "Vivement dimanche", désormais présentée sur France 3. Pour ce nouveau numéro, l'animateur recevait Vincent Lagaf', ancien animateur phare de la chaîne TF1.Ce dernier a fait son retour dans le programme de Michel Drucker après six ans d'absence… lui qui vient aussi de faire son retour à l'animation du "Bigdil" sur RMC Story, 20 ans après son arrêt. Un come-back qui a d'ailleurs remporté un franc-succès. Michel Drucker n'a donc pas manqué de faire l'éloge de son hôte qui a présenté d'autres émissions ayant attiré des millions de téléspectateurs. "T'es un marathonien, toi" lui a-t-il ainsi lancé, avec admiration.

Vincent Lagaf' victime du syndrome de l'imposteur

Cet entretien fut l'occasion pour Vincent Lagaf' de révéler qu'il a longtemps eu du mal à accepter son succès. "J'ai toujours fait ce qu'on appelle le syndrome de l'imposteur" a-t-il affirmé. "Je suis arrivé dans ce métier avec juste un BEPC. J'ai un BEP de soudeur et un CAP de diéséliste. Rien ne me prédestinait à monter sur scène. Je n'ai pas fait le Cours Florent ni le Cours Simon.", a-t-il rappelé. "Je n'ai aucune fibre artistique, je ne fais que raconter des histoires. Mais je le fais avec mon naturel, et ça plaisait aux gens.". Aujourd'hui, bien que de retour sur petit écran, il assure ne pas être motivé par l'aspect financier. "Moi, j’ai divisé mon cachet par cinq. Je n’ai même pas fait ça pour le pognon. J’ai accepté parce que j’avais besoin de savoir ce que j’étais encore capable de faire" avait-il déclaré sur les ondes de la radio RTL en décembre dernier.

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