Léa Salamé l'a avoué quelques jours après sa nomination, à la place d'Anne-Sophie Lapix. Elle ne rêvait pas du journal de 20h de France 2. La journaliste, déjà à la tête de "Quelle époque !" sur la chaîne, a pourtant accepté le poste. Pour mener à bien ce nouveau projet, la femme de Raphaël Glucksmann a fait une croix sur la matinale de France Inter. Elle l'animait depuis 8 ans avec Nicolas Demorand. Et ce n'est pas le seul sacrifice qu'a fait Léa Salamé. Comme l'explique Libération, ce 23 juillet 2025, elle avait la possibilité d'aller sur BFMTV, l'an prochain.
Léa Salamé et son salaire à 5 chiffres
La chaîne d'information, qui n'a pas réussi à recruter Sonia Maboruk lui proposait un salaire mirobolant de 50 000 euros par mois, comme le rapporte nos confrères.
Le double de ce qu'elle aura sur le service public avec le JT. Et, ce sans compter le programme hebdomadaire du samedi soir qu'elle produit, via sa propre société, Marinca productions.
Depuis 2022, elle a repris la case du samedi soir à son compte, après son duo avec Laurent Ruquier, dans "On est en direct".
À l'époque, c'est l'animateur aux petites lunettes qui était à la production de ce programme qu'il avait créé un an plus tôt. Dans sa précédente émission, "On n'est pas couché" (2006 à 2020), Léa Salamé fut sa chroniqueuse pendant 2 saisons.
Léa Salamé a parcouru du chemin depuis. Et le chiffre de son salaire à 25.000 euros par mois est donc désormais lancé. Naturellement, il a fait monter la moutarde au nez de quelques internautes, et politiques.
Ceux qui veulent privatiser le service public s'insurgent
En premier lieu, chez les partisans de la privatisation de France télévisions. C'est ainsi que le député du Rassemblement national Julien Odoul s’est insurgé sur son compte X. Il a commenté : "Quand on apprend que nos impôts payent la journaliste de gauche Léa Salamé (sic) 25.000 euros par mois". Et de conclure : "Vivement la privatisation pour arrêter cette humiliation et cette spoliation !"
Quand on apprend que nos impôts payent la journaliste de gauche @LeaSalame 25.000 euros par mois.Vivement la privatisation pour arrêter cette humiliation et cette spoliation ! https://t.co/AuWeN7Wp29
— Julien ODOUL (@JulienOdoul) July 23, 2025