Ethan Berrebi accusé de viol : Cyril Hanouna et Bruno Retailleau appelés à la rescousse par l'influenceur

il y a 1 semaine 4

Au lendemain de la mise en examen de l'influenceur Ethan Berrebi, accusé de viol, l'information dévoilée par le Parisien, ce 17 juillet 2025 a de quoi faire sourire. En garde à vue, le 14 juillet dernier, le jeune homme de 23 ans aurait contacté Cyril Hanouna, dans le but de trouver une solution pour sa libération. En effet, ce Tiktokeur suivi par 2,5 millions d’abonnés aurait demandé à son père de solliciter, via Baba, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. Rien que ça. "Piégé", alors qu'il venait porter plainte au commissariat contre la jeune fille qui l'accuse, Ethan Berrebi a été mis en garde à vue. Il dit que ses "droits ont été bafoués" pendant 24h. De son côté, son père assure qu'il a bien envoyé un SMS à Cyril Hanouna, mais sans succès.

Ethan Berrebi voulait remonter jusqu'au ministère

De son côté, Cyril Hanouna confirme qu'il a bien eu le père d’Ethan Berrebi. Il s'est renseigné sur la situation de son fils. L'animateur explique en effet : "Le père est gentil. Il est un peu en galère avec son fils, il m’appelle de temps en temps".

Et d'ajouter : "Mais son fils, je n’en ai rien à foutre. J’ai déjà eu un contentieux avec lui". Finalement, Cyril Hanouna a expliqué au père qu'il ne pouvait "rien pour lui".

Il affirme, amusé : "Son père ne m’a jamais demandé d’appeler le ministre de l’Intérieur, comme si je n’avais que cela à faire : appeler le ministre ! Il est fou".

Pourquoi Cyril Hanouna ne peut rien pour lui ?

Et de préciser qu'il avait demandé sur Instagram au maire de Saint-Germain en Laye, Arnaud Péricard, pourquoi Ethan Berrebi était en garde à vue. Il lui aurait répondu : "Laisse tomber, c’est judiciarisé".Un récit entièrement confirmé par Arnaud Péricard. Le maire assure avoir agi dans son rôle d'élu. Et il a bien expliqué à Cyril Hanouna : "C’est une affaire judiciarisée, ne t’en mêle pas". Pour finir, il assure : "Je n’ai jamais appelé le parquet, ni la substitut en charge de l’affaire". De son côté, le ministère de l'Intérieur conteste tout lien avec cette affaire.

Lire l'article entier