"Tous les jours, je culpabilise", Karim Benzema : gros malaise de sa future femme, Lyna Khoudri, face à sa fortune

il y a 4 jours 9

Lyna Khoudri est assurément l'une des actrices les plus talentueuses de sa génération. Acclamée par la critique, la jeune femme a tout pour être comblée, elle qui partage actuellement la vie de Karim Benzema.Récemment, lors d'un entretien accordé à La Tribune du Dimanche, Lyna Khoudri s'est confiée sur son parcours et sur son train de vie actuel.

La jeunesse mouvementée de Lyna Khoudri

C'est en 2019, dans le film Papicha, que Lyna Khoudri s'est fait connaître aux yeux du grand public. Depuis, la comédienne a enchaîné les succès. Aujourd'hui, âgée de seulement 32 ans, elle cumule déjà deux César, un prix à la Mostra de Venise et une carrière internationale en plein essor.Mais malgré la réussite, Lyna Khoudri n'oublie pas d'où elle vient. Elle est née en 1992 à Alger, une ville qu'elle quitte à l’âge de deux ans avec sa famille, contrainte de fuir les violences islamistes. Son père, qui était journaliste, a souhaité venir en France pour offrir à sa famille un environnement plus sûr.

Un parcours atypique comblé de succès

Lyna Khoudri a donc grandi en banlieue parisienne, à Aubervilliers. Elle confie avoir eu des difficultés avec le système scolaire, mais remercie les enseignants qui ont su la soutenir. "Je n’ai jamais voulu m’adapter. Me réveiller à 6h pour une heure de bus, je trouvais ça contre-productif", explique-t-elle. Désormais, elle revendique fièrement son parcours atypique.L'actrice, actuellement à l'affiche du film 13 jours, 13 nuits, partage aujourd'hui la vie du footballeur Karim Benzema. Le couple s'est d'ailleurs montré ensemble, chose rare, lors du festival de Cannes. "Nous étions bien conscients que notre histoire sortirait un jour sans notre consentement. Il voulait m’accompagner, il était fier de moi, tout comme j’étais fière d’être à ses côtés", confie-t-elle à ce propos.

Lyna Khoudri : "Tous les jours, je culpabilise"

Lyna Khoudri reconnaît avoir parfois du mal à accepter sa nouvelle vie. "Tous les jours, je culpabilise de bien gagner ma vie", avoue-t-elle, avant d'évoquer à nouveau son passé : "J’ai longtemps été animatrice pour aider ces gamins de banlieue qui n’avaient pas la chance d’avoir eu le même équilibre que le mien. Sauf que je n'ai pas ce pouvoir d'aider tout le monde...".Pourtant, malgré les épreuves traversées, la jeune femme refuse qu'on la considère comme une victime. Elle rend hommage à ses parents qui, même dans les situations difficiles, ne se sont jamais plaints. "Ils m’ont transmis la fierté, pas la plainte", conclut-elle.

Lire l'article entier